CODE DE RÉFÉRENCE
ES/NA/AGN/F335
TITRE
Conservatorio Pablo Sarasate
DATES EXTRÊMES
1901-2007
NIVEAU DE DESCRIPTION
Fond
VOLUME
166 boîtes
60 livres
8 legs personnels
PRODUCTEUR
Conservatorio Profesional de Música Pablo Sarasate
INDICATION BIOGRAPHIQUE
Siguiendo el camino abierto por el Conservatorio de Madrid, el Ayuntamiento de Pamplona estableció una Escuela Municipal de Música en 1858. Este centro fue uno de los primeros, si no el primero, en implantar una escuela de música pública, aparte del mencionado Conservatorio de Madrid. En 1856 el Ayuntamiento de Pamplona creó una comisión compuesta por Mariano García Zalba, compañero y amigo de Hilarión Eslava, y Sebastián Cantera, músico, quienes elaboraron el reglamento de la citada Escuela de Música. García Zalba dirigía ya una escuela privada de música donde se reservaban varias plazas gratuitas a jóvenes sin capacidad de recursos. El 21 de julio de 1858 la el Ayuntamiento aprobó el reglamento de la nueva escuela de música. A partir de 1911 de denominó Academia Municipal de Música.
Por Decreto Foral de 20 de abril de 1951 se le reconoció la validez académica "con grado de conservatorio".
El 21 de Agosto de 1956 la Diputación Foral de Navarra creó, mediante un Decreto Foral, el Conservatorio Navarro de Música Pablo Sarasate. Para regirlo se constituyó un Patronato cuyo presidente era un diputado foral y el vicepresidente el teniente de alcalde del Ayuntamiento de Pamplona, dos representantes de los profesores, dos de la Asociación de Padres de Alumnos, uno de los alumnos y el director. La financiación corría a cargo del Gobierno de Navarra (60%) y del Ayuntamiento de Pamplona (40%).
Este proyecto fue impulsado por el empresario Félix Huarte y los músicos navarros Martín Lipúzcoa y Fernando Remacha Villar. En honor al primero se constituyó la Cátedra Félix Huarte. Esta cátedra patrocinó cursos y conciertos.
El Conservatorio conservó su sede en el emplazamiento de la Escuela de Música, en la plaza del Vínculo, hasta 1961, año en que se proyectó el centro de la calle Aoiz.
El 13 de octubre de 1986 se disolvió el Patronato del Conservatorio Pablo Sarasate y el centro pasó a depender en su totalidad de la Diputación Foral de Navarra.
En 1986 se creó la Joven Orquesta Pablo Sarasate integrada en el conservatorio.
El 27 de marzo de 2002 se creó el Conservatorio Superior de Música de Navarra “Pablo Sarasate” por la Ley Foral 7/2002. Durante el curso 2004-2005 se materializó la separación física y administrativa del Conservatorio Navarro de Música Pablo Sarasate, dirigido por Julio Escauriaza, que pasó al palacio Ezpeleta de la calle Mayor, y del Conservatorio Superior de Música de Navarra “Pablo Sarasate”, bajo la dirección de Ramón García Olcoz (curso 2005-2006).
Por Resolución 1019/2005, de 3 de noviembre del Director General de Enseñanzas Escolares y Profesionales, el Conservatorio Navarro de Música “Pablo Sarasate”, con sede en la calle Mayor de Pamplona, que ya no impartía estudios superiores, pasó a denominarse Conservatorio Profesional de Música Pablo Sarasate.
Por Resolución 269/2006, de 16 de marzo del Director General de Enseñanzas Escolares y Profesionales, el Conservatorio Superior de Música de Navarra "Pablo Sarasate", con sede en la calle Aoiz de Pamplona, pasó a denominarse Conservatorio Superior de Música de Navarra.
Estos cambios de denominación ayudaron a aclarar la identificación de ambos centros y acabaron con la situación que llevó a que, entre 2002 y 2005, existiera un Conservatorio Superior de Música “Pablo Sarasate” y un Conservatorio Superior de Música de Navarra “Pablo Sarasate”.
En septiembre de 2011 ambos se trasladaron a la Ciudad de la Música.
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MÉMOIRE ARCHIVISTIQUE
La documentación ha sufrido diversos traslados con los cambios de sede y la división de centros.
La documentación propiamente de archivo se encontraba mezclada con abundante material de biblioteca y diversos objetos.
El fondo fue tratado en 2016.
El fondo ingresó en el Archivo Real y General de Navarra por transferencia en 2020.
CONTENU
Documentación que abarca todas las etapas por las que ha pasado el conservatorio desde que era una escuela municipal hasta la actualidad.
Por volumen, la más importante es la referida a la contabilidad y a la correspondencia. Se echa en falta gran cantidad de documentación, especialmente aquellos documentos relativos a la organización. Algunas series que hubieran sido de gran utilidad para el conocimiento de la institución, como las sesiones del Patronato, están incompletas.
Además, se han transferido los fondos de Casino Eslava, Pedro de Felipe, Martín Lipúzcoa, Alfredo Lumbreras, Maribel Iturralde, Manuel Sáinz de los Terreros, José María Beobide y Felipe Aramendía, así como un conjunto de partituras no asociado a ningún fondo.
CONDITIONS D’ACCÈS ET DE REPRODUCTION
La documentation est accessible au public, de manière présentielle dans les locaux des Archives Royales et Générales de Navarre.
Sa consultation est reproduction est régie par les dispositions prévues dans la Décision 373/2013, du 9 décembre, de la Directrice Générale de Culture-Institution Príncipe de Viana, par laquelle on adopte les Règlements Internes d’Accès, Consultation et Reproduction des Archives Royales et Générales de Navarre.
La reproduction des ouvrages n’appartenant pas au domaine public ne pourra se faire que pour l’usage privé du demandeur et exclusivement à des fins de recherche, conformément aux dispositions du Décret Royal Législatif 1/1996, du 12 avril, dans lequel on adopte le Texte refondu de la loi de Propriété Intellectuelle, réglementé, en précisant et harmonisant les dispositions légales en vigueur en la matière.
Article 10. Oeuvres et Titres originaux.
1. Feront l’objet de propriété intellectuelle toutes les créations originales littéraires, artistiques, scientifiques exprimées par n’importe quel moyen ou support, tangible ou intangible, actuellement connu ou qui sera inventé à l’avenir, en y incluant :
- Livres, brochures, imprimés, épistolaires, écrits, discours et allocutions, conférences, rapports légistes, explications de chaire et toutes les autres oeuvres de même nature.
- Les compositions musicales, avec ou sans paroles.
- Les œuvres dramatiques et dramatico-musicales, le chorégraphies,les pantomime et, d’une manière générale, les œuvres théâtrales.
- Les œuvres cinématographiques et toutes les autres œuvres audiovisuelles.
- Les sculptures et les œuvres de peinture, dessin, gravure, lithographie et les historiettes graphiques, bandes dessinées ou comics, ainsi que leurs essais ou ébauches et les autres œuvres plastiques, qu’elles soient appliquées ou non.
- Les projets, les plans, les maquettes et les créations d’ouvrages architecturaux et d’ingénierie.
- Les graphiques, les cartes et les créations relatives à la topographie, la géographie et, d’une manière générale, à la science.
- Les œuvres photographiques et celles exprimées par des procédés semblables à la photographie.
- Les programmes informatiques.
2. Le titre d’une œuvre, lorsqu’elle est originale, sera protégée comme partie de celle-ci.
Article 37. Reproduction, prêt et consultation d'œuvres à travers de dispositifs spéciaux dans certains établissements.
1. Les propriétaires des droits d’auteur ne pourront pas s’opposer aux reproductions des œuvres, lorsque celles-ci sont réalisées sans finalité lucrative par les musées, bibliothèques, phonothèques ou archives publiques ou qu’elles appartiennent à des institutions à caractère culturel ou scientifique et que la reproduction se réalise exclusivement à des fins de recherche ou de conservation.
2. Les musées, archives, bibliothèques, hémérothèques, phonothèques ou filmothèques publiques ou appartenant à des entités d’intérêt général à caractère culturel, scientifique ou éducatif sans finalité lucrative, ou des institutions d’enseignement espagnol, seront également exemptés de l’autorisation des propriétaires des droits pour effectuer les prêts desdites œuvres.
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En outre, en raison de la singularité des documents qui composent le fonds, la consultation et la reproduction seront déterminées par la Loi Organique 1/1982, du 5 mai, sur la Protection Civile du Droit à l’Honneur, à l’Intimité Personnelle et Familiale et à la Propre Image.
Article Quatrième.
Un. L’exercice des actions de Protection Civile de l’Honneur, l’Intimité ou l’Image d’une personne décédée revient à la personne que celle-ci aura désignée à ce effet dans son testament. Une personne morale peut faire l’objet de la désignation.
Deux. S’il n’y a pas de désignation ou si la personne désignée est décédée, le conjoint, les descendants, les ascendants et les frères et sœurs de la personne concernée, vivants au moment de son décès, seront légitimés pour demander la protection.
Trois. À défaut de tous ceux-ci, l’exercice des actions de protection reviendra au Ministère Public, qui pourra agir d’office à la demande de la personne intéressée, à condition qu’il ne se soit pas écoulé un délai de plus quatre-vingt ans depuis le décès du propriétaire des droits. Le même délai sera respecté lorsque l’exercice des actions mentionnées revient à une personne morale désignée dans un testament.
Quatre. Dans les cas d’intromission illégitime des droits des victimes d’un délit prévu au paragraphe huit de l'article septième, elle sera légitimée pour exercer les actions de protection de la personne lésée par le délit commis, qu’il ait exercé ou non l’action pénale ou civile dans la procédure pénale précédente. Le Ministère Public sera également légitimé dans tous les cas. Dans les cas de décès, on s’en tiendra aux dispositions prévues aux paragraphes précédents. (…)
Article septième.
Seront considérés comme intromissions illégitimes dans le domaine de protection prévu à l’article deuxième de cette Loi :
(…)
Trois. La divulgation des faits relatifs à la vie privé d’une personne ou d’une famille qui affectent sa bonne réputation, son nom, ainsi que la révélation ou la publication du contenu de lettres, mémoires ou autres écrits personnels à caractère intime.
Quatre. La révélation de données privées d’une personne ou d’une famille connues à travers l'activité professionnelle ou officielle de la personne qui les révèle. (…)
Sept. L’imputation de faits ou la manifestations de jugements de valeur à travers d'actions ou d'expressions pouvant, d’une manière ou d’une autre, porter atteinte à la dignité d’autrui, en nuisant à sa réputation ou en lésant sa propre estime. (…)
Article Huitième.
Un. D’une manière générale, ne seront pas considérées comme intromissions illégitimes, les actions autorisées ou accordées par l’Autorité compétente conformément à la Loi ni lorsque l’intérêt historique, scientifique ou culturel prévaut.
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INSTRUMENTS DE DESCRIPTION
Inventaire
UNITÉS DE DESCRIPTION EN RAPPORT
Luis Miguel Alonso Nájera
Felipe Aramendía Lezaeta
José María Beobide Goiburu
Casino Eslava
Teresa Catalán Sánchez
Jesús Echeverría Jaime
Escuela de Danza de Navarra
Pedro de Felipe Alayeto
Mariano García Zalba
Iruñeako Taldea Musikagileak / Grupo de Compositores de Pamplona
Maribel Iturralde Ros
José Láinez Díez et Concha Martínez Nicolás
Santos Laspiur Abad
Martín Lipúzcoa Urriza
Alfredo Lumbreras Urío
Ana Moreno Lecumberri
Koldo Pastor Arriazu
Fernando Remacha Villar
Manuel Sainz de los Terreros
Martín Zalba Ibáñez
DOCUMENTATION COMPLÉMENTAIRE DANS D’AUTRES ARCHIVES
- Archivo Municipal de Pamplona
- Archivo Ciudad de la Música
- Archivo Conservatorio Profesional de Música Pablo Sarasate
- Archivo Conservatorio Superior de Música de Navarra
NOTE DE PUBLICATIONS
- Andrés Vierge, Marcos. “Las relaciones entre el Instituto Gregoriano de París y el Conservatorio Pablo Sarasate de Pamplona". En: Primer Encuentro sobre Historia de la Educación en Navarra. Pamplona: SEHN, 2001. P. 197 - 211.
- Andrés Vierge, Marcos. Fernando Remacha: el compositor y su obra. Madrid: ICCMU, 1998.
- Campión, Jokin. Felipe Aramendía (1866-1942): estudio biográfico y catálogo de las obras de su legado musical. Trabajo de investigación realizado como fin de carrera de la especialidad de Musicología del Conservatorio Superior de Música de Navarra, 2009 (inédito).
- Fraile Sarrias, Alberto. "Pablo Sarasate, Conservatorio". En: Gran Enciclopedia de Navarra. Volumen VII. Pamplona: Caja de Ahorros de Navarra, 1990. P. 393.
- Goldaracena Asa, Arturo y Jimeno Gracia, Mª Manuela. "Análisis de los estudios profesionales de música en Navarra a partir de la LOGSE: el punto de vista del profesorado". En: Musiker: cuadernos de música. N. 16 (2008). P. 239-264.
- Goldaracena Asa, Arturo. "La Educación Musical en Navarra en el siglo XIX: las primeras escuelas de música municipales". En: Musiker: cuadernos de música. N. 14 (2005). P. 47-77.
- Gurbindo Gil, Beatriz y Hermoso Castillo, Isabel. "Asuntos generales en la Academia Municipal de Música de Pamplona durante la segunda mitad del siglo XIX". En: Primer Encuentro sobre Historia de la Educación en Navarra. Pamplona: SEHN, 2001. P. 235-257.
- Ibarretxe Txakartegi, Gotzon, Goldaracena Asa, Arturo y Jimeno Gracia, Mª Manuela. "De la LOGSE a la Declaración de Bolonia: el caso del Conservatorio Superior de Navarra "Pablo Sarasate". En: Boletín de investigación educativo-musical. Año 13, n. 37 (2006). P. 14-21.
- Jiménez Jiménez, Bruno. "Profesorado en la Academia Municipal de Pamplona (1858-1881)". En: Primer Encuentro sobre Historia de la Educación en Navarra. Pamplona: SEHN, 2001. P. 259-279.
- Nagore Ferrer, María. "La Escuela Municipal de Música de Pamplona: una institución pionera en el siglo XIX". En: Estudios sobre música y músicos de Navarra. María Gembero Ustárroz (ed.), Volumen monográfico de Príncipe de Viana, n. 238 (mayo-agosto 2006), p. 537-556.
- Navallas Rebolé, Javier. "Música, Enseñanza de la". En: Gran Enciclopedia de Navarra. Volumen VII. Pamplona: Caja de Ahorros de Navarra, 1990. P. 497.
- Pérez Ollo, Fernando. "Academias de música". En: Gran Enciclopedia de Navarra. Volumen I. Pamplona: Caja de Ahorros de Navarra, 1990. P. 61-62.
- Reglamento Orgánico de la Escuela de Música de la Ciudad de Pamplona. Pamplona: Imprenta y Librería de Regino Descansa, 1858.
- Sagaseta Aríztegui, Aurelio. "Mariano García Zalba (1809-1869): nuevas aportaciones sobre su biografía y producción musical". En: De Musica Hispana et aliis. Miscelánea en honor al Prof. Dr. José López-Calo, S.J. Volumen II. Santiago de Compostela: Universidad de Santiago de Compostela, 1990. P. 231-245.
- Sagardía, Ángel. "Conservatorio Navarro de Música «Pablo Sarasate» de Pamplona". En: Enciclopedia General Ilustrada del País Vasco, Cuerpo A. Diccionario Enciclopédico Vasco. Volumen VII. San Sebastián: Editorial Auñamendi, 1976. P. 496.
- Sopeña, Federico. "La música en la ciudad: tradición y actualidad. El único conservatorio funcional de España". En: ABC (15 oct. 1963).
Nouvelle du transfert
DESCRIPTEURS
Música, Siglo XIX, Siglo XX, Institución musical, Pedagogía musical.