Catalán Sánchez, Teresa

Es autora del tratado Sistemas compositivos temperados del siglo XX y coautora de Música no tonal: las propuestas de J. Falk y E. Krenek, además de distintos artículos y ponencias; varias de sus obras, forman parte del programa de estudios en diferentes conservatorios del Estado. Es miembro del consejo de redacción de la revista Papeles del Festival de Cádiz.

Es miembro fundador del Grupo de Pamplona de Compositores (Iruñeako Taldea Musikagileak), caracterizado estéticamente por el uso de formas que se reconocen y de recursos paratonales, el uso tradicional de los instrumentos musicales y la voluntad de construcción de sistemas armónicos que superasen la oposición tonal/atonal. Es igualmente miembro fundador de la Asociación de Compositores Vasco-navarros.

Ha sido directora del Festival y Curso Internacional de Música Contemporánea del Monasterio de Veruela (Zaragoza) y miembro del Consejo de Cultura del Gobierno de Navarra, y ha participado en la organización de numerosos eventos musicales. Comisarió el IX Encuentro de Creación “Sensxperiment” en homenaje a Ramón Barce realizado en Lucena (Córdoba) en octubre de 2007.

En julio de 2010, fue nombrada miembro del Consejo Estatal de las Artes Escénicas y de la Música, a propuesta del propio Instituto Nacional de las Artes Escénicas y de la Música (INAEM). En 2015 es nombrada académica de número de la Academia de las Ciencias, las Artes y las Letras del País Vasco, Navarra y Aquitania (JAKIUNDE).

Ha recibido varios premios de composición (Fernando Remacha, Año Europeo de la música de composición musical 1985, Sabina de Plata) e interpretación (Paulino Caballero), así como encargos de varias instituciones nacionales e internacionales, entre los que destacan los del Ayuntamiento de Pamplona, Associazione Amici della Musica de Anghiari, Internationales Festival für neue Musik de Heidelberg (Alemania), Radio Magyar de Budapest (Hungría), Foro Europeo de la Música (Frankfurt), Fundación D. Juan de Borbón de Segovia, Festival “Tardes de España” de San Petersburgo (Rusia), Universidad de Valencia, Festival Internacional de Santander en su LI edición, IV Festival de Música Española de Cádiz, Grupo Tactum o del Centro para la Difusión de la Música Contemporánea.

En 2011 recibió la Encomienda de la Orden al Mérito Civil.

Su catálogo de obras incluye prácticamente todos los géneros, destacando el de cámara y las obras para piano. Además, ha participado en trabajos colectivos del Grupo de Pamplona en obras como El rapto de Europa (1987).

Sus composiciones han sido programadas en los más importantes festivales y en distintos países (Alemania, Italia, España, Francia, Argentina, Rusia, USA, Holanda, Cuba, Rumania, etc.), siendo algunas de ellas incluidas en diferentes CDs grabados en España y Hungría. En 2003, la Fundación Ars Incognita editó un CD monográfico con parte de su producción camerística.

En 2014 dentro de la Temporada de la Orquesta Sinfónica de Euskadi, en el Auditorio Kursaal de San Sebastián, se estrena su ballet para orquesta sinfónica La danza de la princesa. Recibe un encargo del Festival Chopin de Valldemossa que dará como fruto su obra Paráfrasis, estrenada en dicho festival en el mes de agosto de 2015. Participa en el 30º Cicle de Música del segle XX-XXI, en Barcelona con el estreno de su composición para piano La Danza del gozo vermell que interpretó el célebre pianista Diego Fernández Magdaleno. Ese mismo año estrena su obra sinfónica Bere Oiartzuna en el Teatro Pedro Muñoz Seca de El Puerto de Santa María, interpretada por la Orquesta de Córdoba, en el marco del XIII Festival de Música Española de Cádiz.

Durante 2016 toma parte en el recital de piano, Homenaje a Cervantes y Shakespeare. "Los espejos del sueño", organizado por el Instituto Cervantes, con el estreno en París de Aldonza y Crésida, obra encargo del Instituto para la conmemoración del IV Centenario de la muerte de Miguel de Cervantes. El Cuarteto de Cuerdas de La Habana interpretó su obra Las redes de la memoria en el Festival de Música de Cádiz 2016. En el homenaje a Montserrat Figueras, organizado por la Universidad de Valladolid y que tuvo lugar en el Palacio de Congresos de esa ciudad, estrenó su Elegía V. En mayo de 2017 se estrenó en la Fundación Juan March de Madrid su obra De ida y vuelta interpretada por Diego Fernández Magdaleno.

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Article 10. Oeuvres et Titres originaux.

1. Feront l’objet de propriété intellectuelle toutes les créations originales littéraires, artistiques, scientifiques exprimées par n’importe quel moyen ou support, tangible ou intangible, actuellement connu ou qui sera inventé à l’avenir, en y incluant :

1. Livres, brochures, imprimés, épistolaires, écrits, discours et allocutions, conférences, rapports légistes, explications de chaire et toutes les autres oeuvres de même nature.
2. Les compositions musicales, avec ou sans paroles.
3. Les œuvres dramatiques et dramatico-musicales, le chorégraphies,les pantomime et, d’une manière générale, les œuvres théâtrales.
4. Les œuvres cinématographiques et toutes les autres œuvres audiovisuelles.
5. Les sculptures et les œuvres de peinture, dessin, gravure, lithographie et les historiettes graphiques, bandes dessinées ou comics, ainsi que leurs essais ou ébauches et les autres œuvres plastiques, qu’elles soient appliquées ou non.
6. Les projets, les plans, les maquettes et les créations d’ouvrages architecturaux et d’ingénierie.
7. Les graphiques, les cartes et les créations relatives à la topographie, la géographie et, d’une manière générale, à la science.
8. Les œuvres photographiques et celles exprimées par des procédés semblables à la photographie.
9. Les programmes informatiques.

2. Le titre d’une œuvre, lorsqu’elle est originale, sera protégée comme partie de celle-ci.

Article 37. Reproduction, prêt et consultation d'œuvres à travers de dispositifs spéciaux dans certains établissements.

1. Les propriétaires des droits d’auteur ne pourront pas s’opposer aux reproductions des œuvres, lorsque celles-ci sont réalisées sans finalité lucrative par les musées, bibliothèques, phonothèques ou archives publiques ou qu’elles appartiennent à des institutions à caractère culturel ou scientifique et que la reproduction se réalise exclusivement à des fins de recherche ou de conservation.

2. Les musées, archives, bibliothèques, hémérothèques, phonothèques ou filmothèques publiques ou appartenant à des entités d’intérêt général à caractère culturel, scientifique ou éducatif sans finalité lucrative, ou des institutions d’enseignement espagnol, seront également exemptés de l’autorisation des propriétaires des droits pour effectuer les prêts desdites œuvres.

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Article Quatrième.

Un. L’exercice des actions de Protection Civile de l’Honneur, l’Intimité ou l’Image d’une personne décédée revient à la personne que celle-ci aura désignée à ce effet dans son testament. Une personne morale peut faire l’objet de la désignation.

Deux. S’il n’y a pas de désignation ou si la personne désignée est décédée, le conjoint, les descendants, les ascendants et les frères et sœurs de la personne concernée, vivants au moment de son décès, seront légitimés pour demander la protection.

Trois. À défaut de tous ceux-ci, l’exercice des actions de protection reviendra au Ministère Public, qui pourra agir d’office à la demande de la personne intéressée, à condition qu’il ne se soit pas écoulé un délai de plus quatre-vingt ans depuis le décès du propriétaire des droits. Le même délai sera respecté lorsque l’exercice des actions mentionnées revient à une personne morale désignée dans un testament.

Quatre. Dans les cas d’intromission illégitime des droits des victimes d’un délit prévu au paragraphe huit de l'article septième, elle sera légitimée pour exercer les actions de protection de la personne lésée par le délit commis, qu’il ait exercé ou non l’action pénale ou civile dans la procédure pénale précédente. Le Ministère Public sera également légitimé dans tous les cas. Dans les cas de décès, on s’en tiendra aux dispositions prévues aux paragraphes précédents. (…)

Article septième.

Seront considérés comme intromissions illégitimes dans le domaine de protection prévu à l’article deuxième de cette Loi :

(…)

Trois. La divulgation des faits relatifs à la vie privé d’une personne ou d’une famille qui affectent sa bonne réputation, son nom, ainsi que la révélation ou la publication du contenu de lettres, mémoires ou autres écrits personnels à caractère intime.

Quatre. La révélation de données privées d’une personne ou d’une famille connues à travers l'activité professionnelle ou officielle de la personne qui les révèle. (…)

Sept. L’imputation de faits ou la manifestations de jugements de valeur à travers d'actions ou d'expressions pouvant, d’une manière ou d’une autre, porter atteinte à la dignité d’autrui, en nuisant à sa réputation ou en lésant sa propre estime. (…)

Article Huitième.

Un. D’une manière générale, ne seront pas considérées comme intromissions illégitimes, les actions autorisées ou accordées par l’Autorité compétente conformément à la Loi ni lorsque l’intérêt historique, scientifique ou culturel prévaut.

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